Thérapie ACT : douleur et souffrance, quelle différence ?
c’est en expérimentant qu’on apprend et qu’on agit sur ce sur quoi l’on peut agir. Là où l’on pensait ne pas avoir là choix ou qu’on s’était habitué.e à l’idée que « ça sera toujours comme ça » on s’aperçoit qu’il est possible de reprendre les commandes et se diriger vers ce que l’on souhaite vraiment, malgré les épreuves que l’on a dû affronter.
Coaching TCA et travail en réseau
En matière de tca l’aide psychologique doit précéder l’aide alimentaire. La conduite alimentaire est seulement le symptôme d’un problème plus profond du patient-client.
Faut-il combattre pour se rétablir ?
L’ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement) nous apprend qu’être enfermé.e dans un comportement de lutte est vain sur le long terme et apporte plus de souffrance finalement. Autrement dit, pour nous en sortir, il nous faut lâcher prise et cesser de lutter. C’est loin d’être facile mais c’est possible.
Doit-on pour autant cesser de combattre ?
Manger pour gagner
Manger pour gagner, ça veut dire quoi ? Cela ne signifie pas uniquement améliorer les performances sportives et se mettre dans les meilleures dispositions possibles avant une compétition.
C’est aussi avoir la volonté d’être et de rester en forme quotidiennement. Nourrir sa bonne vitalité physique 😊
Les pairs aidants : mise au point
Lorsqu’on souffre d’un trouble psy c’est notre personnalité qui est affectée donc il semble impossible de guérir. De même, je considère que la maladie est une partie de nous * . Pourquoi vouloir se libérer d’une partie de nous ? Si j’ai parfois des patients-clients qui souhaitent acter leur « divorce » d’avec la maladie par une lettre par exemple, ce n’est pas le cas le plus fréquent. En revanche, on observe clairement qu’il est possible de reprendre le dessus et même de gagner complètement la bataille.
L’âme en éveil, le corps en sursis : le témoignage d’un lecteur
Ce qui m’a initialement intéressé dans votre témoignage, c’est le rapport au corps, à la fois physique et psychologique, cette lutte permanente entre des sentiments aussi contradictoires et difficilement compréhensibles, notamment pour les proches, les parents et l’entourage.
Presse : l’anorexie masculine dans le journal belge Le Vif
Généralement associées à la gent féminine, l’anorexie et la boulimie touchent de plus en plus d’hommes. Décryptage.
Des TCA à la pair-aidance : Revue Santé Mentale Février 2022
« Pairs aidants, patients experts, patients ressources, patients partenaires, médiateurs… Quoi qu’il en soit et quel que soit le terme utilisé (de même lorsqu’il s’agit de parler de rétablissement, de rémission ou de guérison) le plus important est d’être à l’aise avec celui que l’on emploie et surtout l’idée que l’on se fait de soi »
Fonction Pair-aidante : Au-delà du symptôme
« je ne suis pas qu’une personne guérie de l’anorexie »
Je suis beaucoup d’autres choses : épouse, mère, sportive, ancienne musicienne, ancienne « marketeuse », lectrice confirmée, une amie fidèle, j’ai été clown en maternelle, j’ai donné des cours de français et de langues… la liste est longue.
Guérir c’est peut-être réunir toutes ces parties, qu’elles puissent cohabiter, s’articuler, se parler…
Revue Le Petit Corse : Les Voix du Rétablissement à la Une
Février 2022 : Le livre « Les voix du rétablissement – la médiation de la pair-aidance » fait la une du journal « Le Petit Corse ».
Ce journal est distribué sur toute la péninsule ainsi que plusieurs villes du Sud de la France. Catherine Brette, correspondante pour le journal, a écrit un article complet sur la pair-aidance que vous retrouverez en pages 8 et 9 de ce numéro très spécial pour nous.